élan Vital

Il y avait, il n’y a plus,
En fait est-ce bien, est-ce mal ?
Je ne compterai pas les étoiles,
Je m’épuiserai dans toutes leurs rues.

Poubelles, il faut lâcher du lest !
Le passé est un carnassier,
Dont les dents innombrables te percent,
Impitoyables comme de l’acier.

Si tu résistes, ton fardeau,
Alourdit ton âme et ton sang,
Hop ! il faut aller de l’avant,
Je me lève et je me fais beau,

Quelqu’un peut être ici m’attend.

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