Cela devenait impossible de compter.
Les briques devenaient des éléments de trop
Elles sortaient trop petites, trop grandes, décalées,
Des datas, des données, des millions de grelots.
ça sonnait, ça teintait, en flux désordonnés,
Pour un édifice qui ne tenait pas debout.
Du sexe de la violence, des conseils sur tout,
la jungle urbaine, la politique bétonnée,
Les interdictions pour une vie plus saine,
Mauvais air la réduction des libertés.
J’avais bien observé à droite et à gauche,
Mais c’était plus haut qu’il fallait regarder.
Vous intéressez-vous aux informations ?
Tout est faux, tout est vrai, tout est vraiment faux.
Les images de tous temps sont des illusions,
Les paroles aussi et tant mieux si c’est vrai.
/
1988 Drowning By Numbers. J’avais adoré ce film, surréaliste, fellinien, poétique, et la musique de Mickael Nyman. Une histoire d’épouses qui assassinent leurs maris avec tranquillité et on les soutient.


Laisser un commentaire